William Let est un photographe et artiste français, né au milieu des volcans, en Auvergne.

Depuis toujours, il fut bercé par les légendes, les énergies, les esprits et entouré de guérisseurs en tous genres.

Son grand-père, musicien et chef d’orchestre ayant découvert le pouvoir de ses mains, soignait des personnes qui se plaignaient de maux parfois depuis plusieurs années. Sa mère hérita des mêmes dons.

Comment alors ne pas s’intéresser à des pratiques dont on est le témoin depuis l’enfance ? Comment ne pas croire en des forces, des énergies différentes ?  William Let s’est pourtant éloigné de tout cela pour faire ses études artistiques à Paris. Six années plus tard, diplômé d’arts appliqués et une licence de concepteur graphique en poche, il intégrait l’agence de communication la plus renommée de l’époque en tant que directeur artistique, et réalisera plus de 200 affiches de spectacles.  Cette expérience lui a ainsi permis de fréquenter de grands musiciens, comédiens, danseurs, peintres, sculpteurs, chefs cuisiniers, et de s’essayer à leurs disciplines pour en découvrir les secrets, sentir ce qui les animait et surtout « comprendre » leur art, cette quête spirituelle qui va au-delà de la simple maîtrise technique. Celle de toucher l’énergie vitale du spectateur et de la connecter avec « l’œuvre ».

C’est en 2009, lors d’un voyage au Brésil pour un projet humanitaire, que William Let eut le déclic pour sa série photo Pacham. Lors de son séjour, il écouta les légendes et vu briller les yeux d’un peuple qui vit en harmonie avec la terre, notre mère, La Pachamama.

Inspiré par les philosophies des tribus, peuples autochtones, les pensées d’hier et d’aujourd’hui, les symboles créés il y a des milliers d’années ou plus récemment, ses recherches se sont basées sur le point commun de vouloir le bien, d’apporter la paix intérieure et de bien vivre en harmonie sur la terre avec soi et les autres.

Empli de cette approche et de l’envie de ressentir la force de l’art de la peinture corporelle, il a commencé à prendre en photo des modèles qu’il connaissait bien, des amies qui avaient surmonté des épreuves de la vie, gardant un sourire plus grand que toutes les souffrances qu’elles avaient traversées.

Et c’est dans cet univers que William Let nous emporte. Un monde de spiritualité et de respect. Un monde de vibrations et d’harmonie.  Un univers où l’on parle de sensations et d’émotions. Un univers où il n’est question que d’amour.